La maladie respiratoire chronique du rat symptômes 

  • Dans beaucoup de cas, au début, le rat ne présente pas de symptômes alors que des lésions pulmonaires existent déjà 
  • Avec l’avancé de l’âge et des différents facteurs environnementaux, l’arrivée et la sévérité des différents symptômes varient, ils peuvent être présent sous la forme de :
    • Reniflements
    • Nez qui coule
    • Respiration rapide
    • Perte de poids 
    • Dos vouté 
    • Poils ébouriffés
    • Tête penchée
    • Larmes rouges 
  • Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il n’y a pas de symptôme unique à la maladie, c’est pour cela qu’il est important de consulter un vétérinaire pour qu’il puisse diagnostiquer au mieux la pathologie de votre animal de compagnie. 

Diagnostic

Mais alors comment diagnostiquer une maladie respiratoire chronique chez votre rat ? 

Le vétérinaire prendra une anamnèse complète avec notamment des informations sur l’environnement de votre compagnon. N’hésitez donc pas à prendre des photos de son lieu de vie pour que le vétérinaire puisse visualiser au mieux les installations. 

Pour investiguer au mieux et en fonction de ses signes cliniques, le vétérinaire vous proposera surement des examens complémentaires. En général, les plus indiqués sont un scanner (figure 1) afin de voir les lésions pulmonaires (flèche orange). Una radiographie peut également être réalisée, mais elle n’apportera pas autant d’informations. Une sérologie ou une culture bactérienne peuvent aussi être réalisés pour connaitre l’agent pathogène et sa sensibilité aux

Étiologie

Certains pathogènes sont très fréquents : 

  • Mycoplasma pulmonis
  • Streptoccocus pneumoniae 
  • Corynebacterium kutscheri 

Ils peuvent être compliqué par des virus ou des champignons.

Traitement

  • Une fois le diagnostic établi, il faut mettre un traitement en place. Il y a 3 axes principaux qui sont :
  • Les bronchodilatateurs pour les aider à respirer plus facilement
  • Les antibiotiques pour combattre l’infection 
  • Les anti-inflammatoires pour diminuer la gène 

Il faut aussi adapter l’environnement comme éviter de placer la cage dans un courant d’air, mettre une litière peu poussiéreuse (figure 2), changer régulièrement la litière car l’ammoniaque est irritant pour les voies respiratoires, donner une alimentation équilibrée pour éviter les carences alimentaires qui affaiblissent le système immunitaire. 

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